Quand le passé revient pour forger l’avenir

Je planche toujours sur la révision de mon manuscrit. Le tiers est révisé et corrigé. Ouf! Ça avance!

Ce soir en revenant chez moi, je suis tombé sur un vieux cahier de notes de 2005 et j’y ai découvert les grandes lignes d’une idée de roman. J’avais ébauché une espèce de plan, sans plus, et je l’ai complètement oubliée. C’était à l’époque où la maladie se pointait le bout du nez et où je travaillais 7 jours par semaine comme travailleuse autonome.

Là, complètement par hasard, je le retrouve. Rien que le fait de lire les quelques mots griffonnés sur le papier, je suis si stimulée que j’ai envie de m’y mettre tout de suite. À côté de mes anciennes notes, j’en ai apposé de nouvelles. Ça aura sûrement le temps de mûrir pendant que je termine le manuscrit en cours. Je vous en reparle bientôt! Là, je vais essayer de me calmer un peu pour aller dormir bientôt… il est tard…

Beau défi!

Y

Le défi de l’écriture

Je suis aux dernières étapes de la rédaction de mon manuscrit : cohérence, révisions stylistique et linguistique. J’avoue que c’est une étape que je trouve un peu pénible. J’ai amorcé ce projet en 2012. Ça fait 2 ans cet automne. Il faut dire que je me suis donné un défi de taille en choisissant le sujet de ce roman. Mais c’était là. C’était ça que je devais écrire. C’est une histoire qui me tient beaucoup à cœur, dont l’écriture n’est pas aisée tous les jours.

Je ne sais pas si ce manuscrit sera publié un jour. À ce point de mon aventure, ce n’est pas ce qui importe le plus. Bien sûr, je sauterais de joie si c’était le cas. Cependant, mon objectif est de mener cette histoire à terme, à la rendre le mieux possible. Déjà, cette deuxième version est significativement supérieure à mon premier jet. Parce que j’y ai mis beaucoup de travail, même si ce n’est pas toujours facile. Mais, comme je disais à mes étudiants quand j’enseignais la relation d’aide, qui a dit que tout doit être facile? Souvent, les choses qui en valent la peine ne le sont pas. Et ce projet vaut grandement la peine.

À suivre…